
Index de l'article

|
L’art en France entre 1850 et 1900
4. Peinture La peinture académique
Le « Salon des refusés »
La province
Gustave Courbet (1819-1877)
L’impressionnisme
Dans le sillage de l’impressionnisme
Le néo impressionnisme
La réaction idéaliste
4.6. Dans le sillage de l’impressionnisme4.6.1. Paul CézanneLe Provençal Paul Cézanne (1839-1906) créé une vision nouvelle du monde. Parti d'un style proche de celui de Daumier, contrasté et empâté, il expose avec les impressionnistes, qu'il connaît par Pissarro. De la période impressionniste datent ses vues de l'Estaque. Mais il s'isole dans sa recherche d'un classicisme moderne. De 1882 à 1895, il trouve dans le paysage (Sainte Victoire), la nature morte et la figure humaine (portraits, joueurs de cartes) une construction équilibrée traduite par une élaboration de chaque touche, qui doit avoir sa valeur exacte. La même préoccupation se marque dans les grandes Baigneuses de la fin.
 | Paul Cézanne : Autoportrait 1875. Huile sur toile, 66 x 55 cm. Collection privée |
|
 | Paul Cézanne : La Montagne Sainte-Victoire vue de Bellevue. 1882-1885. Huile sur toile, 65,5 x 81,7. New York, Metropolitan Museum of Art |
|
 | Paul Cézanne : Baigneuses. 1874-1875. Huile sur toile, 38 x 46 cm. New York, Metropolitan Museum. |
|
 | Paul Cézanne : Toits à Auvers.1874. Huile sur toile, 65 x 80 cm. Chicago, Institute Museum |
|
 | Paul Cézanne : L'Estaque. 1882-1885. Huile sur toile, 65 x 81 cm. Collection privée |
|
 | Paul Cézanne : Nature morte au rideau. 1895. Huile sur toile. Saint-Pétersbourg, Musée de l'Hermitage |
|
 | Paul Cézanne : Nature morte aux pommes et aux oranges. 1895-1900. Huile sur toile, 73 x 92 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Paul Cézanne : la montagne sainte Victoire. 1904-1906. Huile sur toile, 65 x 81 cm. Philadelphie, collection particulière |
|
 | Paul Cézanne : la montagne sainte Victoire. 1904. Huile sur toile, 70 x 92 cm. Philadelphie, Museum of Art |
|
 | Paul Cézanne : les grandes baigneuses. Vers 1906. Huile sur toile, 208 x 249 cm. Philadelphie, Museum of Art |
|
 | Paul Cézanne : les Joueurs de Cartes. 1892. Huile sur toile. Londres, Courtauld Institute |
|
 | Paul Cézanne : la maison du pendu à Auvers sur Oise. 1873. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Paul Cézanne : la servante à la cafetière. 1890-1894. Huile sur toile. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Paul Cézanne : jeune garçon au gilet rouge. 1888-1889. Zurich, collection E.G. Buhrle |
|
 | Paul Cézanne : le vase bleu. 1885-1887. Huile sur toile, 61 x 50 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Paul Cézanne : portrait d’Ambroise Vollard. 1899. Huile sur toile. 101 x 81 cm. Paris, Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris |
|
 | Paul Cézanne : nature morte au crâne et chandelier. 1866. Huile sur toile, 47.5 x 62.5 cm. Collection particulière, Suisse |
|
4.6.2. Toulouse LautrecHenri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), élève de Princeteau, influencé par J. Lewis-Brown, par Degas et les Japonais, est l'illustrateur de la vie contemporaine, qu'il traduit d'un graphisme nerveux, sensible et raffiné à l'extrême. Dans la synthèse d'une seule arabesque, il explique et évoque une présence matérielle et sensible.
 | Henri de Toulouse-Lautrec : salon de thé dans la rue des Moulins. 1894. Pastel, 115 x 132 cm. Albi, Musée Toulouse-Lautrec |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : femme à sa toilette. 1896. Huile sur toile, 67x54 cm. Paris, Musée d'Orsay. |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : monsieur Boileau. 1893. Huile sur toile. Cleveland, Museum of Art |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : seule. 1896. Huile sur bois, 31 x 40 cm.Paris, Musée d’orsay |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Jane Avril dansant. 1892. Huile sur toile, 85 x 45 cm. Paris, Musée d’Orsay |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : le sofa. 1895. New York, Metropolitan Museum of Art |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : la clownesse assise. 1896. Albi, Musée Toulouse-Lautrec |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Yvette Guilbert son public. 1894. huile sur carte photographique, 48 x 28 cm. Albi, Musée Toulouse-Lautrec |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : fille remontant ses bas. 1894. Huile sur carton, 58 x 48 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : la Goulue arrive au Moulin Rouge avec deux filles. 1892. Huile sur carton, 59 x 79 cm. New York, The Museum of Modern Art |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Rosa la rouge. 1886-1887. Huile sur toile, 72 x 49 cm. Barnes Foundation, Merion, Pennsylvania |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : le Jockey. 1899. Musée Toulouse-Lautrec, Albi |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Yvette Guilbert salue le public. 1894. Albi, Musée Toulouse-Lautrec |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Jeanne Avril à la sortie du Moulin Rouge. 1892. Pastel, 101 x 55 cm. Londres, Courtland institute |
|
 | Henri de Toulouse-Lautrec : Justine Dieul. 1889. Carton. 75 x 58 cm. Paris, Musée d’Orsay |
|
4.6.3. Paul GauginGauguin et Van Gogh ne sont impressionnistes que peu de temps : leur génie se développe dans la solitude et loin de Paris. Paul Gauguin (1848-1903) est introduit par Pissarro dans le milieu impressionniste, mais cherche une technique moins réaliste, qu'il trouve en Bretagne, où il élabore, avec Emile Bernard (1849-1934), le cloisonnisme, l'esthétique de la couleur pure et de la synthèse que Sérusier devait transmettre aux nabis. Il fréquente les symbolistes. Fixé à Tahiti, il va mourir misérable et seul à la Dominique. Son chromatisme est très personnel, son exotisme n'est pas anecdotique, mais c'est une ascèse pour trouver la réalité humaine au-delà de la civilisation (« d'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? »). Le même esprit anime sa sculpture et ses gravures sur bois.
 | Paul Gauguin : Autoportrait, 1893. Huile sur toile, 45 x 38 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Paul Gauguin : La danse des quatre bretonnes. 1888. Huile sur toile, 71 x 91 cm. Munich, Neue Pinakothek |
|
 | Paul Gauguin : Les Alyscamps. 1888. Huile sur toile, 92 x 73 cm. Paris, Musée d’Orsay |
|
 | Paul Gauguin : Cavaliers sur la plage. 1902. Huile sur toile, 73 x 92 cm. Collection Stavros Niarchos |
|
 | Paul Gauguin : Cavaliers sur la plage. 1902. Huile sur toile, 66 x 76 cm. Essen, Folkwang Museum |
|
 | Paul Gauguin : Autoportrait au Christ jaune. 1889. Huile sur toile, 38 x 46 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Paul Gauguin : Arearea – Joyeusetés. 1891. Huile sur toile, 75 x 94 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Paul Gauguin : Le Christ jaune. 1889. Huile sur toile, 92.1 x 73.4 cm. Buffalo, Albright-Knox Art Gallery |
|
 | Paul Gauguin : Femmes de Tahiti (Sur la plage). 1891. Huile sur toile, 69 x 91 cm. Paris, Musee d'Orsay |
|
 | Paul Gauguin : la vision après le sermon ou la lutte de Jacob avec l’ange. 1888. Huile sur toile, 73 x 92 cm. Edimbourg, National Gallery of Scotlan |
|
 | Paul Gauguin : Te tamari no atua. 1896. Huile sur toile, 94 x 124cm. Munich Stätliche Sammlung |
|
 | Paul Gauguin : La orana Maria. 1891. Huile sur toile, 113,7 x 87,7 cm. New York, Metropolitan Museum of Art |
|
 | Paul Gauguin : qui sommes nous ? d’où venons nous ? où allons nous ? 1897. Huile sur toile, 138.5 x 373 cm. Boston, Museum of Fine Arts |
|
 | Paul Gauguin : Bonjour monsieur Gaugin. 1889. Huile sur toile, 92,5 × 74 cm. Prague, Musée d’Art Moderne. |
|
 | Paul Gauguin : Nafea foa ipoipo (Quand nous marions nous ?). 1892. Huile sur toile. Bâle, Kunstmuseum |
|
 | Paul Gauguin : les seins aux fleurs rouges. 1899. Huile sur toile. New York, Metropolitain Museum |
|
 | Paul Gauguin : Ta matete « Nous n’irons pas au marché aujourd’hui ». 1892. Bâle, Kunstmuseum |
|
 | Paul Gauguin : autoportrait. 1903. Huile sur toile, 41,5 x 24 cm. Bâle, Kunstmuseum |
|
4.6.4. Emile BernardFils d’industriel, né à Lille, Emile Bernard (1868-1941) entre en 1884 dans l'atelier de Fernand Cormon où se lie avec Louis Anquetin et Henri de Toulouse-Lautrec.
Exclu de l'Atelier Cormon en 1886, il quitte Paris pour se rendre en Normandie et en Bretagne. À Concarneau, il rencontre Émile Schuffenecker (1851-1934) qui lui donne une lettre d’introduction à l’attention de Paul Gauguin. Bernard se rend à Pont-Aven, mais il a peu de contacts avec Gauguin.
Pendant l’hiver 1886-1887, il rencontre Van Gogh à Paris et connaît une période pointilliste. Au printemps 1887, il repart en Normandie et en Bretagne, et décore sa chambre à l'auberge de Mme Lemasson à Saint-Briac où il passe deux mois avant de se rendre à Pont-Aven. Il abandonne le pointillisme pour le cloisonnisme, élaboré avec Anquetin.
En août 1888 a lieu la véritable rencontre avec Gauguin : Gauguin et Bernard sont alors à un moment charnière de leurs évolutions artistiques respectives, ils se dirigent tous deux vers la synthèse conceptuelle et la synthèse formelle d'où nait le symbolisme de Pont-Aven : le « synthétisme » se traduit par une suppression de tout ce qui n'est pas mémorisé après la visualisation, les formes sont simples et la gamme de couleur est restreinte. En 1889 Bernard expose avec d’autres peintres du groupe de Pont-Aven au café Volpini à Paris.
En 1891 il se brouille avec Gauguin, définitivement. Émile accuse Gauguin de s'attribuer tous les mérites des inventions du groupe de Pont-Aven. En 1893, Antoine de la Rochefoucault, son mécène, l'aide financièrement à partir en Égypte : Bernard y séjourne dix ans et s'y marie. À son retour, en 1904, il rencontre Cézanne à Aix-en-Provence.
Il meurt dans son atelier parisien du quai Bourbon, à l'âge de 72 ans.
 | Emile Bernard : Bretonnes. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum of Art |
|
 | Emile Bernard : les Bretonnes aux ombrelles. 1892. Huile sur toile, 105 cm x 81 cm. Paris, musée d’Orsay. |
|
 | Emile Bernard : les trois races. 1898. Huile sur toile. Los Angeles County Museum of Art |
|
 | Emile Bernard : Madeleine dans le bois d’amour. 1888. Huile sur toile, 137 x 164 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Emile Bernard : autoportrait avec le portrait de Paul Gaugin. 1888. Huile sur toile, 55 x 46 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
4.6.5. Paul SérusierPaul Sérusier (1864-1927) se forme à l’Académie Julian auprès de Denis, Bonnard, et Ranson. Il rencontre en 1888 son mentor, Paul Gauguin, à Pont-Aven, en Bretagne, au moment où celui-ci élabore le synthétisme et le cloisonnisme avec Emile Bernard. Il se fait son propagandiste, et peint sous sa direction « Le Talisman » (« Le paysage au Bois d'Amour »), petit tableau constitué de motifs de couleurs pures. Cultivé, curieux de doctrines théosophiques et de langues anciennes, Sérusier devient le théoricien du groupe. Il retourne en 1889-1890, en Bretagne avec Gauguin, dont il adopte les tons somptueux et sourds, et reprend les motifs.
Il fonde avec Vuillard et Roussel le groupe des Nabis, dont la première exposition a lieu en 1891 chez Le Barc de Bouteville.
Grand admirateur des Primitifs italiens, il se consacre essentiellement à partir de 1900 à la peinture allégorique ou religieuse. Il s’installe définitivement en Bretagne, et en 1921 publie un court traité dans lequel il développe une théorie des formes et des couleurs.
 | Paul Sérusier : Eve bretonne. Vers 1890. Huile sur toile, 58 x 72 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Paul Sérusier : Le Talisman, 1888. Huile sur bois, 27 x 21,5 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|
 | Paul Sérusier : les laveuses à la Laïta. 1892. Huile sur toile, 92 x 73 cm. Paris, Musée d’orsay |
|
 | Paul Sérusier : les laveuses. 1891. Huile sur toile. Munich, Neue Pinakothek |
|
 | Paul Sérusier : L'Incantation ou Le Bois Sacré. 1891-1892. Huile sur toile, 91,5 x 72 cm. Quimper, Musée des Beaux Arts. |
|
4.6.6. Vincent van GoghVincent Van Gogh (1853-1890), Hollandais religieux et sincère, formé dans le réalisme sombre de Mauve, Breitner et J. Israëls, en arrivant à Paris a le choc de l'impressionnisme et de la technique claire. Parti pour Arles en 1888, il y peint dans une exaltation intérieure si intense qu'elle aboutit à la crise de folie de 1889 et au drame de l'oreille coupée après la tentative d'assassinat sur son ami Gauguin. Il se suicide en juillet 1890 à Auvers. Son génie dramatique et sensible créé d’immenses chefs d'œuvre (portraits, autoportraits, paysages intenses, fleurs, etc.) qui se trouvent nombreux au musée Kröller-Müller d’Oterlo en Hollande.
 | Vincent Van Gogh : les mangeurs de pommes de terre. 1885 Huile sur toile, 81,5 x 114,5 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : poirier en fleurs. Avril 1888. Huile sur toile, 73 x 46 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : le pont de Langlois. Mars 1888. Huile sur toile, 54 x 65 cm. Otterlo, Rijksmuseum Kröller-Müller |
|
 | Vincent Van Gogh : barques sur la plage. Juin 1888. Huile sur toile, 64 x 81 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : jardins de maraîchers dans la Crau. Juin 1888. Huile sur toile, 72,5 x 92 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : le facteur Roulin. Août 1888. Huile sur toile, 81 x 65 cm. Boston, Museum of fine Arts |
|
 | Vincent Van Gogh : le café le soir. Septembre 1888. Huile sur toile, 70 x 89 cm. New Haven, Yale University Art Gallery |
|
 | Vincent Van Gogh : la chambre de Vincent à Arles. Octobre 1888. Huile sur toile, 72 x 90 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : la chaise et la pipe. Décembre 1888. Huile sur toile, 93 x 73,5 cm. Londres ; Tate Gallery |
|
 | Vincent Van Gogh : autoportrait à la pipe. Janvier 1889. Huile sur toile, 51 x 45 cm. Chicago, collection Block |
|
 | Vincent Van Gogh : la nuit étoilée. Juin 1889. Huile sur toile, 73 x 92 cm. New York, Museum of Modern Art |
|
 | Vincent Van Gogh : Champ de blé. Début juillet 1889. Huile sur toile, 74 x 92 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : autoportrait. Septembre 1889. Huile sur toile, 65 x 54 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Vincent Van Gogh : l’hôpital à Arles. Octobre 1889. Huile sur toile, 74 x 92 cm. Winterthur, Sammlung Oskar reinhart |
|
 | Vincent Van Gogh : la sieste. Janvier 1890. Huile sur toile, 73 x 91 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Vincent Van Gogh : les iris. Mai 1890. Huile sur toile, 92 x 73,5 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : portrait du docteur Gachet. Début juin 1890. Huile sur toile, 68 x 57 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Vincent Van Gogh : l’église d’Auvers sur Oise. Première semaine de juin 1890. Huile sur toile,94 x 74 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Vincent Van Gogh : champ sous un ciel d’orage. Juillet 1890. Huile sur toile, 50 x 100 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : champ de blé aux corbeaux. Juillet 1890. Huile sur toile, 50,5 x 100,5 cm. Amsterdam, Rijksmuseum Vincent van Gogh |
|
 | Vincent Van Gogh : roses et anémones. Juin 1890. Huile sur toile, 51 x 51 cm. Paris, musée d’Orsay |
|
 | Vincent Van Gogh : les oliviers. Septembre – décembre 1889. Huile sur toile, 72 x 92 cm. Otterlo, Rijksmuseum Kröller-Müller |
|
 | Vincent Van Gogh : tournesols. Août 1888. Huile sur toile, 93 x 73 cm. Londres, National Gallery |
|
 | Vincent Van Gogh : les iris. Mai 1889. Huile sur toile. New York, Musée Paul Getty |
|
4.6.7. Odilon Redon et les débuts du symbolismePlus littéralement symboliste, marqué par l'esthétique de Delacroix est l'art poétique et mystérieux d'Odilon Redon (1840-1916) que l'influence de Bresdin entraîne vers la gravure ; esprit cultivé, écrivain (A soi-même), musicien, ami de Mallarmé, il sait mettre dans un bouquet ou un visage tout un monde d'évocation (le Christ du Sacré Cœur, le Bouddha, la Nuit, le Jour, la Couronne) et sa poésie s'exprime dans des visions presque abstraites (le Sphinx, Vision sous-marine). Sa gloire naît d'abord en Belgique, où le symbolisme éclate avant 1885 et en Hollande.
 | Odilon Redon : Sita, 1893. Pastel, 53,6cm x 37,7 cm. The Art Institute Of Chicago |
|
 | Odilon Redon : Portrait de Violette Heymann. 1910. Pastel, 72 × 92 cm. Cleveland, Museum of Art |
|
 | Odilon Redon : le cyclope. Ver 1914. Huile sur toile, 64 x 51 cm. Museum Kroller-Mueller, Otterlo, The Netherland |
|
 | Odilon Redon : les yeux clos, 1890. Huile sur toile. Paris, Musée d´Orsay |
|
 | Odilon Redon : Mystère. Non date. Huile sur toile, 73 x 53,9 cm. Washington, The Phillips Collection |
|
 | Odilon Redon : Le Bouddha. Vers 1905. Pastel sur papier 98 x 73 cm. Paris, Musée d'Orsay |
|

Articles connexes
|
|