Le camp de concentration de Bergen Belsen
6. TĂ©moignages
Les épidémies, par le docteur Fréjafon
La mort au camp Par Hanna Levy Hass
L’enfer, par Claude Roy
Le Camp par Benbassat David
Vie quotidienne par Yves LĂ©on
La libération par Yves Léon
La libération, par le Général Glyn-Hugues
6.2. La mort au camp Par Hanna Levy Hass
Hanna LEVY HASS : Journal de Bergen-Belsen, 1944-1945, Seuil 1989.« Derrière le complexe des blocks où nous sommes entassés, il y a encore des baraquements, dans toutes les directions, à perte de vue, où sont internés des prisonniers politiques, des criminels qu’on appelle Häftlinge ; il y a une foule de femmes, d’enfants internés sous tous les prétextes possibles et imaginables, tout un monde, cinquante à soixante mille personnes. Et les colonnes de nouveaux arrivants se traînent tous les jours sur les chemins, entre les blocks, toute une armée de malheureux conduits aux travaux forcés et déjà esquintés, affamés, torturés ». (17 octobre 1944).
« Le but est le même, seule varie la tactique : à Auschwitz un procédé brutal, cynique, l’assassinat en masse par les gaz. Ici l’extermination lente, lâchement calculée, par la faim, la violence, la terreur, les épidémies savamment entretenues ». (Janvier 1945).
« L’inanition est générale. On ne réussit à bouger qu’à grand’ peine. Personne n’est capable de marcher droit normalement. Tout le monde chancelle et traîne des pieds. Des familles entières s’éteignent en quelques jours ». (Janvier 1945)
Le camp de concentration de Oranienbourg - Sachsenhausen
Le camp de concentration de Stutthof (Sztutowo)
Le camp de concentration de FlossenbĂĽrg
Le camp de concentration de Dora
Le camp de concentration de Gross Rosen
Le camp de concentration de Theresienstadt
Esterwegen et les camps de l’Emsland
Le camp de concentration de Neuengamme
Le camp de concentration de Lublin MaĂŻdanek