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L’art en France entre 1800 et 1850
2.5. Peinture La peinture classique La peinture romantique La nature
2.5.3. La natureLa peinture du XIXè siècle découvre la nature. Le paysage historique meurt vers 1820 quand disparaissent Pierre Henri de Valenciennes (1750-1819) et Achille Etna Michallon (1796-1822). Entre 1820 et 1840, Antoine Bidault (1758-1836), Jean Victor Bertin (1797-1871) et Théodore Caruelle d’Aligny (1798-1871), les maîtres et amis de Corot, tentent de renouveler la formule néo-classique.
| Pierre Henri de Valenciennes : vue du couvent d’Ara Coeli au milieu des pins. 1780. Huile sur papier et bois, 17 x 26 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Achille Etna Michallon : Paysage inspiré de la vue de Frascati. 1822. Huile sur toile, 171 x 127 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Achille Etna Michallon : la branche cassée, forêt de Fontainebleau. Huile sur toile, 41 x 51 cm. New York, Metropolitan Museum |
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| Jean Victor Bertin : entrée du patrc de saint Cloud. 1810. Huile sur toile. Los Angeles County Museum of Art |
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| Jean Victor Bertin : vue prise à Essonne. 1840. Huile sur toile, 34 x 41 cm. Paris, Musée du Louvre |
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2.5.3.1. Camille CorotCamille Corot (1796-1875) est, en un sens, un néo-classique (« ce que je cherche, c'est la forme, disait-il : la couleur, pour moi, vient après »). Il est frappé par l'Italie (séjours en 1825-1828, 1834, 1843), où il peint sur nature de multiples chefs-d’oeuvre (Vue du Colisée, Pont de Narni 1826...) et qui lui inspire des paysages mythologiques poussinesques. Mais il est aussi un lyrique (« Que votre sentiment seul vous guide »), lamartinien, presque un romantique par son goût de la confidence discrète, sa sensibilité. En fait, Corot est un isolé. Peintre des gris, ignorant l'effet, il est peut-être l'artiste le plus typiquement français du XIXè siècle. Malgré son énorme production, augmentée de multiples faux (copies retouchées par lui ou imitations d'élèves comme Poirot, Prévost. Trouillebert, Desavary, Dutilleux, Comairas, A. Robaut, Rodrigues-Henriquez...), il est difficile de choisir parmi ses chefs-d'œuvre : Cathédrale de Chartres, 1830 ; Jardins de la villa d'Este, 1843 ; Vue de La Rochelle, 1851 ; vue de Nantes ; Souvenir de Mortefontaine, 1864 ; Beffroi de Douai, 1871... De certains portraits (Mademoiselle Sennegon, 1833 ; Madame Charmois, 1845) et de certaines figures de sa vieillesse (la Femme à la perle, 1868-1870 ; la Femme en bleu, 1874) émanent une pureté et une poésie uniques.
| Camille Corot : la femme en bleu. 1874. Huile sur toile, 80 × 51 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Camille Corot : le pont à Nantes. 1825. Huile sur toile. Paris, Musée du Louvre |
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| Camille Corot : femme à la perle. 1868-1870. Huile sur toile, 70 x 55 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Camille Corot : Agostina. Huile sur toile, 132 x 97.6 cm. Washington, The National Gallery of Art |
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| Camille Corot : Le Moulin de Saint-Nicolas-lez-Arras. Huile sur toile 65,5 cm x 81 cm. Paris, musée d'Orsay |
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| Camille Corot : Le Moulin de la Galette. 1840. Huile sur toile. Genève, musée d'Art et d'Histoire |
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| Camille Corot : La Liseuse couronnée de fleurs ou « La Muse de Virgile ». 1845. Huile sur toile 47 cm x 34 cm. Paris, musée du Louvre |
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| Camille Corot : Les Chevriers de Castel Gandolfo. 1866. Huile sur toile 59 cm x 78 cm. Caen, musée des Beaux-Arts |
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| Camille Corot : Maisons près d'Orléans. Vers 1830. Huile sur papier collé sur carton. Los Angeles, Paul Getty Museum |
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| Camille Corot : Un chemin au milieu des arbres. 1870-1873. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum of Art |
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| Camille Corot : Le pont de Narni. 1826. Huile sur toile, 48 cm x 34 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Camille Corot : La cathédrale de Chartres. 1830. Huile sur toile, 52 cm x 64 cm. Paris, Musée du Louvre |
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2.5.3.2. Le paysage romantiqueLe paysage romantique change la façon de « sentir » la nature. En fait, il a des ancêtres en France qui, de Claude Lorrain à Joseph Vernet et à Granet, cherchent l'effet sensible de la lumière. Louis Gabriel Moreau (1740-1805) et Georges Michel 1763-1843), férus des paysagistes hollandais, ont encore accentué la tendance à choisir de grands ciels, des contrastes d'ombres et de clartés légères, une dynamique des nuages et des forêts. Mais lit vision hollandaise est reprise, transposée par la technique rapide, souple des Anglais Constable (Charrette de foin au Salon de 1824), Turner et les aquarellistes (les Fielding, Bonington surtout, que certains classent dans l'école française), dont la technique fluide et légère, apte à rendre les effets aériens, frappe les jeunes romantiques.
| Georges Michel : moulin. 1820-1830. Huile sur toile, 46 x 38 cm. Londres, Victoria and Albert Museum |
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| Georges Michel : orage. 1820-1830. Huile sur toile, 48 x 63 cm. Strasbourg, musée des Beaux Arts |
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| Georges Michel : Paysage près de Paris. vers 1820-1825. Huile sur toile, 75,5 x 105,4 cm. Valence, Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie |
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| Richard Parkes Bonington : coucher de soleil dans le pays de Caux. 1828. Couleur à l’eau 200 x 260 mm. Londres, Wallace Collection |
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Huet, Flets, Dupré, Cabat, Millet, Rousseau choisissent pour thème le ciel, la mare, surtout la forêt avec l'arbre, équivalent d'une présence humaine, héros triomphant ou foudroyé. La structure du tableau se fait par les valeurs, le feuillage s'imprègne d'air. Corot peint sur nature, puis corrige ; les autres travaillent à l'atelier, sur une esquisse. Tous recherchent un effet de spontanéité très composée.
- Georges Michel (1763-1843), restaurateur des Flamands et des Hollandais au Louvre, fanatique de Rembrandt, précurseur, exprime une vision dramatique du ciel des environs de Paris.
- Paul Huet (1803-1869) cherche les drames de la nature (inondations, orages), et le mystère des forêts (Inondation de Saint-Cloud, Louvre). Dans ses dernières oeuvres, il perd ses qualités chromatiques.
- Narcisse Diaz de la Peña (1807-1876), indépendant, coloriste fougueux, peint des fleurs, des orientales et surtout des sous-bois aux tons précieux. Il travaille à Barbizon après 1848 avec Millet et Rousseau. Sa technique originale frappe Monticelli et Renoir.
- Constant Troyon (1810-1865), d'abord paysagiste sincère, devient, à la suite d'un voyage en Hollande en 1846, animalier parfois heureux.
| Georges Michel : orage. 1820-1830. Huile sur toile, 48 x 63 cm. Strasbourg, musée des Beaux Arts |
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| Georges Michel : Paysage près de Paris. vers 1820-1825. Huile sur toile, 75,5 x 105,4 cm. Valence, Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie |
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| Paul Huet : le gouffre. Huile sur toile. Paris, Musée d’Orsay |
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| Paul Huet : la forêt de Fontainebleau. Vers 1868. Huile sur toile, 125 x 87 cm. Paris, musée du Louvre |
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| Paul Huet : barques de pêche. Huile sur toile |
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| Narcisse Diaz de la Peña : paysage sous l’orage. 1872. Huile sur bois. Los Angeles County Museum of Art |
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| Narcisse Diaz de la Peña : lisière de forêt. 1971. Huile sur toile, 99 x 71 cm. Paris, Musée d’Orsay |
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| Constant Troyon : avant l’orage. 1860. Huile sur toile, 77 x 63cm. Budapest, Magyar Szépmüvészeti Múzeum |
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| Constant Troyon : Vue à La Ferté-Saint-Aubin, près d'Orléans. Vers 1837. Peinture à l'huile sur toile. Los Angeles County Museum of Art |
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| Constant Troyon : l’approche de l’orage. 1849. Huile sur toile |
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2.5.3.3. L’école de BarbizonL'école de Barbizon, dite « école de 1830 », réunit trois amis : Théodore Rousseau. Jean François Millet et J. Dupré.
- Jules Dupré (1811-1884) voit sa vocation de paysagiste éclater après un séjour en Morvan, au Salon de 1831 ; il subit l'influence des Hollandais (Van Goyen. Ruysdaël, Rembrandt) et des Anglais.
| Jules Dupré : Paysage avec un troupeau. 1837. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum of Art |
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| Jules Dupré : La mare aux chênes. 1850. Huile sur toile, 65 x 55 cm. Paris, musée du Louvre |
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| Jules Dupré : La vanne. 1855-1860. Huile sur toile, 69 x 51 cm. Paris, musée d’Orsay |
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- Pierre Etienne Théodore Rousseau (1812-1867) formé par des académiques, après une première manière à la véracité aiguë et lumineuse, est frappé en Auvergne en 1830 d'une sorte de mystique de la nature. Il « entend le langage des forêts ». « On ne copie pas ce qu'on voit... mais on sent et on traduit un monde réel dont toutes les fatalités nous enlacent. » Passionné, incapable de compromission, il se fixe à Barbizon. Il obtient à l'exposition de 1855 un grand succès, mais la fin de sa vie est assombrie par la maladie. Ses chefs d'oeuvre sont souvent des portraits d'arbres grandioses : Allée de châtaigniers, Chênes du Bas-Bréau, le Chêne de Roche.
| Théodore Rousseau : Une avenue, forêt de L'Isle-Adam. 1846 à 1849. Huile sur toile, 101 cm x 82 cm. Paris, Musée d’Orsay |
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| Théodore Rousseau : Les chênes d’Apremont. 1852. Huile sur toile, 63,5 × 99,5 cm. Paris, musée d’Orsay |
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| Théodore Rousseau : orée de forêt à l’aube. 1845-1846. Huile sur toile. Los Angeles County Museum of Art |
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| Théodore Rousseau : la forêt en hiver à l’aube. 1845-1846. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum |
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| Théodore Rousseau : le Village deBecquigny. 1857-1864. Huile sur toile, 63,5 x 100 cm. New York, Frick Collection |
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- La même gravité, la même religion de la nature, avec un sentiment virgilien et biblique de l'homme dans la simplicité de la vie rustique, caractérisent Jean-François Millet (1814-1875), paysan normand, formé par les maîtres du Louvre et par les copies et pastiches du XVIIIè siècle qu'il créé pour vivre. Il débute par une manière aimable, blonde et d'admirables portraits. A Barbizon, en 1849, il redécouvre lit grandeur rustique et son art atteint une monumentalité triste qui reste, dans son absence d'effet, le plus beau poème de la vie paysanne (le Semeur, les Glaneuses, 1857 : l'Angélus, 1857-1859 ; l'homme à la houe). Ses dernières oeuvres sont plus aérées (le Printemps, l'Église de Gréville).
| Jean-François Millet : Les glaneuses. 1857. Huile sur toile, 84 × 111 cm. Paris, Musée d'Orsay |
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| Jean-François Millet : L'Angélus. 1859. Huile sur toile, 53 x 66 cm. Paris, Musée d'Orsay |
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| Jean-François Millet : l’homme à la houe. 1860-1862. Huile sur toile. Los Angeles, Paul Getty Museum. |
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| Jean-François Millet : Paysage d'automne avec un groupe d'oies. 1873. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum of Art |
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| Jean-François Millet : le semeur. 1850. Huile sur toile. Boston, Musée des Beaux Arts |
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| Jean-François Millet : la cuisson du pain. 1854. Huile sur toile, 55 x 46 cm. Otterlo, Rijksmuseum Kröller-Müller |
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- Les provinciaux Lyonnais comme Auguste Ravier (1814-1895), l'ami de Corot, dont les études sur nature sont légères et originales, H Allemand, élève de Rousseau, Jean Michel Grobon (1770-1853), paysagiste et portraitiste, ou Provençaux comme E. Loubon (1809-1863), animalier puissant apportent un caractère de terroir.
| Auguste Ravier : paysage au coucher du soleil. Huile sur toile, 25 x 34 cm. Cambridge, Fitzwilliam Museum |
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| Auguste Ravier : paysage près de Crémieu. Huile sur toile, 25 x 33,5 cm. Paris, Musée d’Orsay |
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| Auguste Ravier : soleil levant. 1870. Huile sur cuivre, 20 x 26 cm. Grenoble, musée des beaux Arts. |
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| Emile Loubon : Paysannes au repos. Huile sur toile |
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| Emile Loubon : troupeau paissant près de Marseille. 1853. Huile sur toile. Marseille, musée des beaux Arts |
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- Aux environs de 1840, une réaction du sens classique du paysage naît dans les ateliers romantiques. Elle se marque chez Decamps, Troyon, De Laberge, surtout chez Louis Français et Nicolas Louis Cabat (1812-1893), élève de Flers, frappé par son voyage italien en 1837, où il rencontre des disciples d'Ingres qui l'entraînent à devenir un initiateur du réalisme.
| Nicolas Louis Cabat : Le château de Dieppe vu de la vallée. Huile sur toile. Dieppe, Caisse Nationale des Monuments Historiques et des Sites |
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| François Louis Français : le Mont Blanc vu de saint Cergues. 1869. Huile sur toile, 162 x 128 cm. Paris, musée d’Orsay |
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| François Louis Français : le miroir de Scey. Huile sur toile. Musée de Besançon |
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- En réaction contre l'effet romantique, la tendance à « ingriser la campagne » (Baudelaire), visible dans les paysages de Paul Flandrin (1811-1902), Alexandre Desgoffe ou Flacheron, d'un froid académisme, cherche le « ton historique » cher à Ingres ; elle donnera l'art épuré de Puvis de Chavannes.
| Alexandre Desgoffe : Vénus à Paphos. Vers 1852-1853. Huile suer toile, 71 cm x 92 cm. Paris, Musée d’Orsay |
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| Paul Flandrin : la solitude. Huile sur toile, 52 x 62 cm. Paris, Musée du Louvre |
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- Le paysage religieux naît vers 1830, avec François Léon Benouville (la Mort de saint François) et son frère Jean Achille ; il est pratiqué par Corot entre 1835 et 1850, par Flandrin, Cabat, le P. Besson à Rome, sous l'influence de Lacordaire.
| François Léon Benouville : Portrait des trois filles d'Alphonse Jacob-Desmalter. 1848. 97 x 97 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| François Léon Benouville : Saint François d'Assise, transporté mourant à Sainte-Marie-des-Anges, bénit la ville d'Assise (1226). 1853. Huile sur toile, 240 x 93 cm. Paris, musée d’Orsay |
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| François Léon Benouville : la colère d’Achille. 1847. Huile sur toile, 156 x 95 cm. Montpellier, Musée Fabre |
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| Jean Achille Benouville : Vue d'une villa romaine. 1844. Huile sur toile, 72 cm x 54 cm. Paris, Musée d'Orsay |
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2.5.3.4. Peinture de genre
Avec l'admiration pour les Hollandais et les Anglais renaît l'art animalier. Des animaux nobles, chevaux, fauves de Géricault, Delacroix, Barye, on tombe dans le bétail rustique : les vaches de Troyon ou de Jacques Raymond Brascassat, les moutons de Charles Emile Jacque (1813-1894) : la voie du réalisme est ouverte.
| Jacques Raymond Brascassat : étude d’un bœuf. Huile sur toile, 42 x 53 cm. Amsterdam, Rijksmuseum |
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| Jacques Raymond Brascassat : chèvre couchée. Huile sur toile, 26 x 36 cm. Bordeaux, musée des Beaux Arts |
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| Jacques Raymond Brascassat : combat de Taureaux. 1837. Huile sur toile, 148 x 196 cm. Nantes, Musée des beaux Arts |
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| Charles Jacque : rentrée à la bergerie. 1855. Huile sur toile, 33 x 41 cm. |
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| Charles Jacque : Troupeau de Vaches à L'abreuvoir. Huile sur toile. 144 x 199 cm. Cambridge Art Gallery |
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| Charles Jacque : retour du troupeau au clair de lune. Huile sur toile. Cambridge Art Gallery |
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Les peintres de fleurs sont des attardés de l’Ancien Régime ; si ce genre ne fut pas dédaigné par Delacroix, qui fit d'admirables bouquets baroques, il disparaît vers 1840 à la mort de Redouté, professeur de dessin de fleurs au Museum, et d'Antoine Berjon (1754-1813), qui possède le sens du style et de la lumière, alors que les autres spécialistes, lyonnais comme lui, tel Saint Jean, tombent dans la description mesquine.
| Antoine Berjon : Nature morte de fleurs, de coquillages, de tête de requin et de pétrifications. 1819 |
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| Antoine Berjon : Madrépores et coquillages. 1810. Huile sur toile, 75 cm x 56 cm. Lyon, musée des beaux-arts |
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| Antoine Berjon : Bouquet de lis et de roses dans une corbeille posée sur une chiffonnière.1814. Huile sur toile, 66 x 50 cm. Paris, musée du Louvre. |
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Les académiques François Josep Heim (Salon de 1824), Louis Hersent, Merry Joseph Blondel (1781-1853), Abel de Pujol, François Edouard Picot, Léon Cogniet (1794-1880), élèves d'Ingres, de David, de Guérin, exercent, par l'Institut, les jurys des Salons et l'enseignement, une révoltante dictature qui exclut des honneurs tous les vrais peintres (Delacroix devra se présenter sept fois à l'Institut pour y succéder à Delaroche).
| François Joseph Heim : La mise à sac de Jérusalem par les Romains.1824. Huile sur toile. New York, Metropolitan Museum of Art |
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| François Joseph Heim : la bataille de Rocroi, 19 mai 1643.1834. Huile sur toile, 543 x 465 cm. Versailles, Musée du château |
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| Louis Hersent : Louis XVI distribue de la nourriture aux pauvres. 1817. Huile sur toile. |
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| Louis Hersent : les baigneuses. 1830. Huile sur toile |
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| Merry Joseph Blondel : la reddition de Ptolemaix à Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion. Huile sur toile, 494 x 406 cm. Versailles, musée du château |
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| Merry Joseph Blondel : Licurgue, législateur de Sparte. Amiens, Musée de Picardie |
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| Merry Joseph Blondel : la France victorieuse à Bouvines. Décor du plafond de la salle del Ducca du musée du Louvre. 1827-1828 |
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| Abel de Pujol : Ixion enchaîné dans le Tartare. 1824. Huile sur toile, Paris, musée du Louvre |
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| Abel de Pujol : autoportrait. 1806. Huile sur toile, 54 x 71 cm. Musée des Beaux-Arts |
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| François Edouard Picot : L'Etude et le Génie dévoilent l'antique Egypte à la Grèce. Peinture sur plafond, 1826 – 1827. Paris, musée du Louvre |
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| François Edouard Picot : Cybèle protégeant les villes de Pompéi, Herculanum et Stabies de l'éruption du Vésuve. Salon de 1827, plafond de la sixième salle du Musée Charles X. 233 x 291 cm. Paris, Musée du Louvre |
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| Léon Cogniet : La femme du brigand. Huile sur toile collée sur bois. New York, Metropolitan Museum of Art |
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| Léon Cogniet : Scène du Massacre des saint Innocents. 1824 ; Huile sur toile ; 265 x 235 cm. Rennes, Musée des beaux Arts |
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Une place à part doit être faite aux écrivains dessinateurs, Théophile Gautier, Alfred de Musset, Mérimée, Baudelaire. Mais le plus grand est Victor Hugo qui, dans ses dessins, partant d'une tache, imagine de mystérieux et fantastiques paysages, qui l'ont fait surnommer « le Turner de la nuit ».
| Victor Hugo : le pendu. Dessin |
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| Victor Hugo : le phare. Dessin |
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| Le Gai Château, 1897. Encre, lavis et crayon sur carton - 15,8 x 22,2 cm. Paris, Maison de Victor Hugo |
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| Victor Hugo : Gros temps, la Durande. Dessin des Travailleurs de la Mer. Plume, pinceau, encre brune et lavis, rehauts de gouache blanche. Maison de Victor Hugo |
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