La sculpture évolue vers la complication et la multiplication des champs ornés. Seuls les portails des cathédrales de Rochester et Lincoln sont d'influence française.
Façades : On tapisse les façades pour les dissimuler de statues sous arcades en registres superposés : Wells, Exeter, Salisbury. Mais la Peste Noire décimera les ateliers.
 | Cathédrale d’Exeter : façade occidentale |
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 | Cathédrale de Wells : la façade, détail |
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 | Salisbury : la cathédrale : le massif occidental |
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Petite sculpture : On place une figure unique (ange) sur cadres, clefs, corbeaux : choeur des Anges dans l'abbaye de Westminster, cathédrale de Lincoln.
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Abbaye de Westminster : le tympan du transept sud |
Sculpture intérieure en bois : elle est très ouvragée et purement décorative. Elle est importante, chaque province ayant ses particularités propres : stalles de Winchester, 1290 ; stalles de Chester, fin XIVè.
 | Cathédrale de Chester : les stalles |
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 | Cathédrale de Chester : les stalles |
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 | Cathédrale de Winchester : les stalles |
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Sculpture funéraire : Elle est abondante : effigies en bois, albâtre, pierre, bronze (Gisants de Henri III et Eléonore de Castille, Westminster, 1291 par W. Torel). L'influence française est manifeste dans les ateliers londoniens. Les « Brasses » sont typiquement anglais : cuivres gravés d'images pieuses et de devises, incrustées dans des dalles funéraires en marbre noir.
 | William Torel. Portrait du roi Henri III et portrait de la reine Aliénor de Castille |
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 | Roger et Agnès Thornton (1441). Brass de la cathédrale Saint Nicholas, Newcastle upon Tynel |
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